C’était une journée semblable aux autres, nous avions finis par nous y habitués… le pays était en guerre et nos guerriers partaient, certains revenaient, comme d’autres non.
La vie au village restait tout de même joviale et agréable pour presque tout les villageois, mais la vérité est qu’ils ne pouvaient agir qu’ainsi, car très peu savaient… ce qu’ils y avaient en dehors des murs.
Nous vivions dans ce mensonge où cette guerre n’existait pas et tant que nous pouvions boire et manger à notre faim, rien de nous obligeaient à penser à la souffrance au-delà des murs, seul les familles ne voyant pas revenir leur fils ou leur père y avaient un avant goût.
On raconte qu’avant la guerre, les troupes, à présent notre ennemie, était arrivés jusqu’au village, nous n’étions pas préparés car pas un seul instant nous n’avions pensés que le pays voisins prendrait le village pour cible. C’était arrivé si soudainement, ils avaient détruit les quatre portes sacré, des portes qui nous protégeaient jusqu’alors d’une barrière spirituelle… Et d’après les anciens, les troupes qui avaient envahit le village semblaient chercher quelque chose, où peut-être était-ce quelqu’un…
Maintenant, une cinquantaine d’années ont passée, les habitants ont reconstruit ce qui avait été détruit, mais les portes des saisons, elles, ne pouvait être réparés... Peut-être notre magie n’était-elle pas assez puissante où tout simplement que nous ne savions pas comment les réparés… depuis, les vestiges des portes du village ont disparut, et on ne sait plus où elles se trouvent, peut être sont-elles sous terre, en dessous d’un mur qu’y fut rebouchés…
A présent la seule porte qui nous connecte au monde extérieure et nous protègent est la porte principale, les mages des saisons les plus puissants y ont créée une barrière, mais elles restent beaucoup plus faibles que l’ancienne. Le mystère pèse d’ailleurs toujours pour savoir comment les troupes avaient réussi à détruire la barrière ainsi que comment avaient-ils été repoussés….
C’était ici que je vivais, dans ce beau village où nous ne pouvions pas sortir de son enceinte, sauf les guerriers qui partaient se battre. A cet instant, en regardant par la fenêtre de ma chambre du plus haut étage de la maison, du moins le château ou le temple de la déesse pour les passants... un contraste entre moi et les villageois me parût flagrant, il faut dire que quand on a sept ans, tout parait beaucoup plus grand…
Je pensais qu’ils étaient différents de moi, mais pas vraiment non plus, en réalité, je ne savais pas ce qui les différenciait de moi… pourquoi les villageois pouvaient être librement dehors, tandis que moi, seul le jardin de la cour m’était autorisé, sans compter que j’étais constamment surveillé par des gardes.
Le peu de fois où j’étais sortit dehors, c’était dans une carriole où bijoux et autres objets brillants faisaient étincelé le bois au contact des rayons du soleil, je sortais d’ailleurs toujours en robe extravagante, j’étais alors aussi clinquante que la carriole…
Les gens me regardaient d’un œil étrange, non pas mauvais, justement plein de douceur ou d’espoir, comme s’ils attendaient quelque chose de moi. Ils n’avaient l’air d’être une menace pour moi mais pourtant personne n’étaient autorisés à m’approché, seule ma famille y avait eu le droit une fois.
Il me semble que je les avais rencontré à 4 ans, on m’avait dit « Ce sont tes parents, ta famille », ce moment je l’avais donc enregistré car des journées qui se différencie des autres sont rare, je n’ai donc jamais oubliés à quoi ils ressemblaient et depuis je ne les aie plus jamais revue.
Ils étaient habillés modestement, ni excessif, ni trop peu, j’ai eu l’impression qu’ils avaient fait tout les efforts du monde pour être bien habillés, à la fin de notre entretien qui n’avaient durée qu’une dizaine de minute où nous nous étions présentez, je suis monter dans ma chambre pour ouvrir un dictionnaire et chercher les mots « parents » et « famille » .
Je n’ai pas été surprise quand j’ai lu que ses définitions ne concordaient pas avec ma situation.
J’avais demandé à un garde pourquoi je ne vivais pas avec eux, il avait dit qu’ils étaient pauvres. J’ai remarqué l’attitude excessive des gardes quand il s’agissait de me parler. Pour eux, ils semblaient être une question de vie ou de mort selon les mots utilisés. Personne ne me parlait d’ailleurs, très peu, et ceux qui me parlaient, faisaient attention aux mots comme pour tordre ou caché une vérité.
Ma vie était alors devenu très monotone, je sortais rarement de la maison, à part dans la cour, le seul moment où on me laissait tranquille…
Sortant de mes pensées, j’ai quittez le bord de la fenêtre, pour sortir de la chambre et aller dans la cour, un garde m’a suivi mais j’ai vraiment insistez pour restez seul, de toute manière, qu’avait-il à craindre ? Les murs faisaient presque 3 mètres, il n’y avait aucune raison pour que des personnes l’escalade, même pas moi qui serait la plus tenté…
Je suis allez à l’arrière cour, derrière la maison, la seul aire où l’herbe n’est pas coupé et où les arbres ne sont pas entretenus, mais aussi la seule aire où un gros arbre colle au mur.
J’ai donc escaladé cette arbre, m’allongeant sur une grosse branche où j’ai pu soufflez, la branche étant situé plus haut que le mur, je pouvais voir les rues, et l’activité des gens qui passaient au loin, c’était beaucoup plus vivant que depuis ma fenêtre.
J’ai beaucoup pensé à sauté de l’arbre, mais pourtant je n’ai jamais osé faire le premier pas, j’avais peur de cette chose que je ne connaissais pas, et si le danger dont les gardes parlaient était vrai ?
Cela faisaient seulement depuis que j’avais 6 ans qu’on m’autorisait à rester seule dans la cour deux heures, et où à la fin je rentrai seule. Cette autonomie m’avait été du grâce à la forte maturité que je montrais malgré mon âge. Et puis les gardes préféraient ça plutôt que je continue à poser des questions qui les dérangeaient.
Fermant les yeux en laissant le vent soufflez sur mon visage et écoutant le bruit des feuilles, j’imaginais ce que les enfants de mon âge faisaient en ce moment, étaient-ils entrain de jouer ? On sûrement à l’école saisonnière où ils auront la chance de développer leur affinité avec les saisons. Moi, la seule chose que j’apprenais était dans la bibliothèque de ma chambre, mais elle contenait seulement l’histoire de notre ville et des dictionnaires, on n’a jamais cherché à m’enseigner des choses ou comment développer mon pouvoir, peut être que je n’en avais pas...
Un bruit attira mon attention me faisant sortir de mes pensées, regardant à droite sur la rue qui était habituellement déserte à cette heure, j’ai vu deux enfants me fixant dans les yeux, l’un me pointait du doigt et avait les cheveux noirs plus longs que l’autre qui avait les cheveux châtain.
Je pense que c’était la première fois qu’on me regardait autant de cette manière, une manière comme on regarde tout le monde, même si ces deux enfants, où garçons il me semble, me regardaient avec curiosité.
J’ai été étonné qu’ils me voient, je suis tout de même bien dissimilé par les feuilles. Je n’ai pas lâché leur regard jusqu'à que le brun se mit à parler :
- Tu veux jouer avec nous ? Moi c’est Liam et l’autre Lucas.
Ah oui, des garçons, un peu naïf pour se présentez si rapidement. J’étais tout de même sous le choc et je n’ai pas répondu, le stress monta, puis sous l’adrénaline je dis « Oui », les seuls mots qui voulurent sortir de ma bouche…
Au bout de quelques instant, j’ai compris qu’ils attendaient que je descende… la peur me crispa, mais j’ai fini par avancer sur la grosse branche qui sors du mur, laissant seulement mes bras me maintenir en l’air en tenant la branche. J’ai soufflé, fit le vide et j’ai tout lâché.
Dés que j’eu atteint le sol, un sentiment nouveau me traversa tout entière, ah oui, je crois qu’on appelle ça la douleur, je n’ai jamais su ce que c’était et j’ai rigolez à en pleurez tellement j’étais heureuse. Ce qui est rare, je suis plutôt indifférente émotionnellement en général.
J’ai d’ailleurs remarqué que quelque chose n’allait pas avec le sol, il n’était pas comme dans la cour. Regardant vers le bas, j’ai remarqué deux corps totalement écrasé. Je me suis relevé en sursaut et est dit
- Vous allez bien ?!
Liam et Lucas se relevèrent sans une larme, époussetant les saletés sur leurs vêtements
- C’est bon et toi tu pleure tu t’es fait mal ? avait demandé Lucas.
J’ai souri et est dit que j’allais bien
- On y va alors ! avait dit Liam.
Me laissant entraîner par les deux garçons et étant dans une tenue à peu près normal, je passais inaperçu dans les rues.
Ils m’on guidé jusqu’à la forêt qui est collé au mur de la ville et nous avons commencez à jouer, imitant pirate et guerrier… je n’étais pas doué pour jouez, je ne connaissais pas ça. Puis Liam m’a demandé
- Tu a quel âge ? Moi huit.
- Moi sept
- Moi huit aussi, c’est quoi ton pouvoir ? ajouta Lucas
- Je ne sais pas.
- Pourquoi ! Tu ne va pas à l’école ?
- Non…
Ils se sont regardé et ont dit « Pas grave on va t’apprendre ! ». Ils étaient sûrs qu’ils faisaient leur âge, dire des choses avec une telle simplicité alors que ce n’est pas si facile... Quoi que moi j’étais plus jeunes qu’eux, mais leurs mots m’avait vraiment touchés. J’ai regardé la disposition du soleil, il se faisait tard, les deux heures étaient presque écoulés, je devais rentrer.
- Il faut que j’y aille maintenant.
- Déjà ? grogna Liam.
- On se revoit demain à la même heure ? dit Lucas qui semblait le plus intelligent.
- Demain ? Vous n’allez pas l’école ?
- Bah si, mais c’est déjà fini à cette heure !
Alors comme ça je pourrais revenir… est-ce que c’est ça avoir des amis ? J’aurais pleurez encore tellement j’avais attendu ce genre de choses…
- D’accord, on se voit demain alors !
Faisant de grand signes de main excité à l’idée de repartir en escapade demain, j’ai retrouvé le chemin jusqu'au mur rapidement, mais c’est là que je me suis rendu compte que je ne pouvais pas remonter, qu’elle sotte !
- Tu veux qu’ont t’aident ?
J’ai sursauté et me suis retourné, Lucas et Liam m’avaient suivi, peut être avaient-ils compris que je n’arriverais pas à monter seul, j’ai accepté gracieusement leur aident, et en faisant une échelle humaine assez maladroite, je réussis à atteindre la branche.
Du haut de l’arbre je l’ai ai remercié et les ai quittés à l’attente de nos prochains rendez-vous. Je suis rentrée sans problème, sans que personne ne se doute de rien, fonçant dans ma chambre, j’ai sauté sur le lit jusqu’à rêvasser de toute les choses que nous pourrions faire le lendemain.
C’est ainsi que commença notre amitié, entre Liam, moi et Lucas, tout les jours nous nous sommes vu au même point de rendez-vous, ils m’apprenaient du mieux possible ce qu’ils apprenaient la journée, j’ai alors su que Liam était affiné à l’été, et Lucas à l’hiver, dans les livres ont parle beaucoup de rivalités entre les personnes qui ont ces pouvoirs.
Les livres ne mentaient donc pas car ils se battaient souvent, même si leur peu de connaissance les obligeaient à se battre à main nu et non avec leur pouvoir. D’ailleurs avec ce qu’ils m’apprenaient de leur journée à l’école, je réussissais seulement à faire une petite forme transparente et flouté…
Maintenant, cela faisait plus an que je les connaissais, ils étaient devenu mes meilleurs amis, et ce termes là ce sont eux qui me l’on apprit, pas mes livres. On avait rendez-vous comme d’habitude à la forêt, j’y allais seul et eux m’aidait juste à remonter l’arbre en rentrant.
Nous nous sommes donc retrouvés là bas, c’était le jour de mon anniversaire où j’ai eu huit ans, et pour la première fois on m’offrit quelques choses, un collier de la part des gardiens, et un bracelet de la part de Lucas et Liam symbolisant notre amitié.
J’ai sauté de joie et les ai remercié comme si je remerciais le monde entier, il faut dire que le monde m’avait permis de les rencontrés.
Nous jouions alors tranquillement, cette fois, en l’honneur de mon anniversaire, j’étais la guerrière et eux les prisonniers.
Je vérifiais tout le temps l’heure, car une minute de retard pouvait être fatale.
Au bout d’une heure de jeux, j’ai eu un sentiment bizarre, le collier que les gardiens m’avaient offert avait soudainement une présence suffocante à mon cou, cela dura 10 min, et à la fin de ces 10 minutes, j’ai vu ce que je n’aurais jamais voulu voir…
C’était le garde qui m’avait offert ce collier de la part de tous et d’un regard de glace très sérieux, il dit quelque mot incompréhensible jusqu’à ce que ma tête me face terriblement mal et que je sombre peu à peu dans l’inconscience… les cris de Lucas et Liam me parvenait, tandis qu’on me soulevait pour me ramener à la prison, oui… la prison, pas la maison …
A mon réveil, j’étais dans mon lit, dans ma chambre, il faisait nuit, et après m’être remémoré les événements, j’ai tenté d’arraché le collier, mais il ne s’enlevait pas. Lucas et Liam m’on raconté qu’ils y avaient un sort sur mon bracelet, quelque choses pour que nous puissions toujours nous retrouvés, c’était un sort qu’ils avaient eux même confectionner…
Le collier avait surement un sort similaire mais sans aucune bonne intention et beaucoup plus puissant… juste une chaîne qui m’empêche de partir d’ici… seul la magie peut contrer la magie, je ne pouvais donc pas l’enlever.
Me redressant j’ai atteint la porte de ma chambre, j’ai tenté de l’ouvrir mais elle était verrouillé, j’ai hurlé pour qu’on me laisse sortir. Un garde ouvra face à mes plaintes, c’était Hector, le chef de la garde, celui qui était venu m’arracher de mes amis, celui qui restait placide et calme avec moi, celui qui etait présent l’objet de ma haine…
Il ne lui fallut aucun tact pour parler de la sorte à une enfant le jour de son anniversaire.
- Tu à de la chance, ils auraient pu te tuer.
- Ils auraient pu me tuer ? Qu’est-ce que vous raconter ?! Vous leur avez fait quoi ?!!
- Rien, mais il est sûr que tu ne les verras plus jamais.
- Comment ça ?
- Le supérieur à fait signaler que tu ne peux plus sortir, tu resteras dans ta chambre à partir de maintenant.
- Qui ça ?
- On t’apportera à manger et pas la peine de refaire ce que tu à fait, c’est dangereux.
- Qui c’est ?
- On à placé une barrière très puissante autour de la demeure pour que personnes ne puissent entrer ou sortir, tu es en sécurité maintenant.
- Qui est le supérieur !?
L’ignorance et le silence du garde me fit trembler, il ferma la porte et je mis à pleurer… j’ai pleuré toute ces larmes qui auraient du couler il y à longtemps face à cette vie qu’on m’imposait, cette vie où avant j’avais l’impression qu’il était normal de vivre…
Les années ont passés dans cette petite pièce close, je passais mes anniversaires comme les journées à fixer mon bracelet du regard, un beau bracelet tissé rouge.
Je lisais aussi beaucoup, absorbant le maximum de connaissance, j’ai même eu le droit à des livres d’écoles à l’âge de 10 ans, certes on ne m’apprenait pas à me servir de mes pouvoirs, mais cela concernait les affinités, les caractéristiques des pouvoirs des différentes saisons.
Je m’entraînais aussi tout les jours à améliorer cette petite forme transparente et floue, qui prenait un petit peu d’ampleur et de puissance à chaque fois.
Et enfin je regardais par ma fenêtre, mais c’était trop douloureux donc je n’y restais plus comme avant.
J’ai appris que Liam et Lucas avait tentés de passé la barrière de ma prison quand j’avais 13 ans, mais avaient échoué.
J’ai eu un court instant de bonheur, comme il y a 5 ou 6 ans quand nous jouions ensemble, l’idée qu’ils avaient tentés de faire ça m’inquiétait tout comme cela me rassurais de savoir qu’ils étaient toujours amis et qu’ils ne m’avaient pas oubliés…
Voilà, j’y suis, mon seizième anniversaire, une journée comme toute celle des sept dernières années en perspective, petit déjeunez qu’on posera sur mon bureau, si je souhaite allez au toilette on m’escortera, comme pour me laver, puis on me ramènera dans la chambre, un garde passera me servir le plat du midi et puis un autre pour le plat soir, mais je peux aussi demandez un encas si j’ai faim.
J’ai tentez de m’échapper une dizaine de fois quand on m’amenait au toilette en tout, les deux premières fois j’ai atteint la cour, mais ensuite c’était devenu trop prévisible, et le collier m’empêchait d’aller plus loin.
Attendant que le garde toque pour m’apporter mon petit déjeuner j’ai soufflé, j’étais devenu totalement indifférente, plus jamais je n’ai eu de sentiment positif, même la haine ne s’animait plus, je n’étais plus qu’une poupée qui attendait la mort ou l’espoir de vivre.
Le garde toqua et pour la première fois depuis ma première tentative de fuite et qu’une règle du fameux "supérieur" de ne plus communiquer avec moi avait été faite. Le garde, Hector que je n’avais pas vu depuis longtemps, peut être un an ou deux, me parla
- Le supérieur veut vous voir à dîner pour fêtez votre seizième anniversaire. J’ai apporté une robe qu’il souhaite vous voir portez.
Maintenant il me vouvoie... je n’ai pas répondu, il à posé la robe sur le lit et j’ai fixez la porte ouverte, ah mais un autre garde y était…. Il à poser le plat et à refermez la porte. Pendant une longue réflexion, une étincelle s’anima en moi, « on va me faire sortir de la prison », je n’avais pas respiré l’air frais depuis longtemps, j’ai été excité à l’idée de sortir mais aussi par quelque chose qui me donna un espoir et beaucoup d’adrénaline.
Je me suis lavez en vitesse et est enfilez la robe de soie rouge. Une robe où j’ai bien vérifié qu’aucun sort n’était placé. Je suis désolé pour ce supérieur, mais il était sûr que je n’allais pas gentiment resté comme bon soldat à dîner après 16 ans cloîtré ici sans aucune raison justifié.
Fin prête, l’escorte, composée de 10 gardes se mit en marche et nous sommes enfin sortit de la prison. L’air se jeta sur moi, je fus heureuse d’accepter son contact et pris une grande bouffé d’air.
Dés que la porte fut franchit, je sentis le poids de la barrière s’enlever, cela ne dura que quelque seconde alors. La carriole était devant moi, j’ai hurlé en pointant mon doigt à gauche, les gardes un peu bête mais qui tienne leur rôle à la perfection on suivi la direction de mon doigt.
Fière de la diversion, j’arrachais le collier sans problème. A force, l’entraînement de mes pouvoirs avaient portés ses fruits, même si je ne connaissais pas mon affinité, je savais que l’une des caractéristiques de mon pouvoir annulait ceux des autres.
Je me suis alors mise à courir comme jamais je n’avais couru jusqu’alors dans la direction opposé, comme si ma vie en dépendait, c’était d’ailleurs peut être le cas.
Les gardes dont Hector avaient finalement remarqué ma fuite et pour la première fois ils osèrent employer leur pouvoir contre moi, mes 16 ans et ce rendez-vous devait vraiment être important. J’ai donc décidé de me retourné légèrement pour sourire ironiquement à Hector, puis j’ai annulé tout les pouvoirs de l'escorte.
C'était drôle à voir, ils étaient tellement sous le choque qu’aucun d’eux ne bougea, et moi, j’étais loin, ayant un seul lieu en tête… l’endroit où je fus séparés de mes amis.
Tout le chemin me revenait comme s’y on mit guidait et à une allure fulgurante… me voici arrivé, enfin... je n’étais pas trop essoufflés mais tout de même, je pleurais…
Je pleurais de cette joie indescriptible qui me faisait trembler de la tête au pied, ils étaient là, tout les deux étaient entrain de se battre comme ils en ont l’habitude, mais maintenant ils étaient grand et confrontaient leur pouvoir.
Ce n’est pas que je n’appréciais pas ce spectacle mais les gardes n’allaient pas tarder, j’ai donc annulé leur pouvoir pour leur dire quelques mots avant d’être encore emprisonné.
Ils se stoppèrent net, se tournant vers moi pour me regarder comme au premier jour, surpris. Liam s’exprima en premier
- Tu nous à fait attendre.
- Vraiment longtemps… ajouta Lucas.
J’ai pleurez au point d’en avoir le nez bouché.
- Désolé de vous avoir fait attendre ai-je balbutié
- On y va alors ?
- Oui.
Séchant mes larmes d’un coup de bras, j’entendais au loin Hector crier des ordres, nous sommes partit précipitamment en nous enfonçant dans la forêt.
- Où va-t-on ? dit Lucas
- Je ne sais pas, tu veux qu’on aille où ? dit Liam
- Le plus loin possible avais-je dit de toutes mes forces.
On a couru un moment et j’ai fini pas apercevoir le mur de la ville au bout de la forêt, nous allions être dans l’impasse, plus nous approchions du mur, plus il me rappela ma prison… j’allais perdre espoir quand j’ai aperçu quelque chose au mur.
Plus on s’approchait, plus je distinguais mieux l’objet, et là, les mots sont venus seul à moi, je ne pouvais le savoir mais je le savais, il s’agissait de la porte sacré du printemps qui nous ouvrait l’accès en dehors du mur. Nous n’étions plus qu’a quelques mètres de la sortie…
J’ai souri tout en repensant au mur de la prison qui m’avais pris si longtemps à franchir, où sans eux je n’aurais jamais eu le courage ni l’intelligence de m’échappé.
Il était temps… j’allais leurs montrer que je n’avais plus peur, que j’étais déterminé… les attrapant par la main et les tirants d’un coup sec, nous sautions à travers la porte et enfin voila …nous y étions… nous nous retrouvions en dehors des murs…
Tellement de passion, d'espoir, de beauté. J'ai imaginé le tout sous un regard plutot asiatique mélangeant les portail tori et l'architecture chinoise et japonaise, en esperant que ça colle avec ta vision =).
Je suis d'accord avec thea c'est un superbe rêve avec plus d'émotion que les autres, le travail que tu y as fournis le vaut bien =:3
Y a une suite? car 7 pages ça me parait peu là =S
Sinon thea, tu es la bienvenue car il n'y a pas d'incruste vu que c'est libre =D
Arone-chan remet nous un curry ou soit une toi zombie =)
Non malheureusement pas de suite :'(
j'ai dit que sur word ça prend neuf pages, mais c'est la police qui ai grande, donc plus elle est petite ( comme c'est le cas là et bien ça prend moins de place )
Arrête de haïr mes images perso x(P beuuuuuhhh
D'ailleurs c'est grâce à Baka-ahou que j'ai rretravaillée le rêve. =)
Je les hais pas, je les compare aux anciennes et je donne mes préférences maintenant tu n'es pas obligée de les écouter puis na!!!! XP
Maintenant c'est vrai qu'avec word ça prend de la place je bosse tout les jours avec en classe enfin presque =/ 4j sur 7
Maintenant faut te le laisser celui là était tout bonnement épique car presque aucune violence mais que des émotions =) c'étais très plaisant à lire =)
Puis tu changes souvent d'image perso quand j'y suis habitué et vu que je suis casanié ben voilà =( ça me perturbe
Et non il ne m'a pas donné des idées, il ma juste dit qu'il aimais le rêve(quand je l'avais postez le 21/05/13 ) donc je l'ai retravaillé en détail pour qu'on ai celui qu'on a là =)
Sinon cette nuit j'ai encore rêvé du bac de français, j'ai d'ailleurs eu une sale note ( 11/20 )... J'ai aussi revue une amie que je n'ai plus vue depuis longtemps, ça mère avait déménagé et lui avait laisser l'appartement qu'elle payait tout les mois, mais n'ayant pas assez car ce n'était qu'un emploie à mi - temps, elle a accepter quelqu'un pour faire de la collocation. C'était vraiment le bordel et crade, j'avais envie de tout remettre dans l'ordre mais la coloc de mon amie m'a dit " J'ai aussi essayez mais j'ai fini par abandonnez " . J'ai aussi fait un peu la conne car ayant le souvenir d'un autre rêve sans m'en rendre compte, je pensais pouvoir faire de la télékinésie, rester en suspension dans l'air. Mais dans ce rêve, les règles étaient humaine, ça n'a donc pas marché et je me suis fait mal =)
XD j'imagine, je vais sauté du 3ème étage et m’arrêter avant le sol et paf une jambe en moins =)
Perso c'étais un rêve ou je manipulais la gravité, si je me concentrais c'étais que sur une petite zone si pas ça aller dans la zone que j'avais conscience (donc ma vue et dans les 3 mètres derrière moi, à un moment un amis me dit "ben alors tu peux volé pourquoi tu marches?" alors je l'ai regardé je l'ai fait décollé en changeant la gravité autour de lui et je lui ai dis "maintenant que tu vol, tu atterris comment si tu n'as pas de surface pour faire un raccord? " car oui le défaut du pouvoir c'est que je peux changer la gravité que de ce qui a la même surface que moi pour point de départ mais je ne peux pas la changer en volant vu que je n'aurais aucune surface de base. Puis j'ai rigolé en faisant décoller les voitures sur la route et en jouant avec l'eau qui couler à l'envers c'étais très drole =) j'ai essayé avec du ciment, le problème c'est que si on veut qu'il sèche en vol ben faut figer le temps mais la physique veux que si ça le repousse ben soit ça garde une certaine distance (aimant) soit ça coule à l'infini jusqu’à rencontré une surface... donc j'ai abandonné et laisser le tout retomber.
En gros même si ça a l'air très technique c'est simple, si j'avais aucun contact avec une surface alors mon pouvoir était inutile donc si je vol sans rien toucher alors je suis juste un mec tombant du ciel =)
Puis tu es gentille tu m'ignores pas tant que ça XD
Pardonnez-moi d'interrompre votre...discussion... mais je viens vous faire part de mon rêve !
Moi j'ai rêvé de la separation de la belgique et que j'étais devenu le président de la wallonie et que j'entrais en guerre avec le coté flamand, mais comme j'étais ami intime avec l'empereur du japon et la chancelière je proposa de jumelé nos pays. Ainsi les flamands n'oseront pas nous attaqués. La dernière image de mon rêve c'est le pays flamand se fesant bombardé. Bref un comme je les aime^^
122* pas 222 on y est pas encore et tu interromps pas une discussion vu qu'elle n'est pas commencée ni même finie d'ailleurs enfin soit!
Un rêve contre les flamands et bien je te comprends l'ami bien sur tu leurs a refilé la famille royale ou tu les as détrôné proprement en brulant leurs cadavres sur des buchets, en faisant des enfants des esclaves (pas sexuel) et personnel de ta propre puissance, tout en prenant leurs avoirs et fonds dissimulé et récolté sur nos têtes!!!
Cette nuit j'ai rêvé que j'était rechercher dans le monde entier par le gouvernement... peut emporte où j'allais, j'entendait les gens dire, " on ne l'a pas encore attraper ? " . Je volais des voitures dans les situations d'impasse... quand les gens parlaient de moi, la police me poursuivaient et je courait sous leur yeux. Un policier, le plus haut placé, quelqu'un de très très fort me poursuivaient en permanence, il trouvait toujours ma trace.
Un soir, après une longue poursuite où même ses compagnons n'on pas réussi à suivre le rythme, il m'attrapa... mais encore aurait-il fallut que sont fils ne soit pas là.. car c'était le cas.
Je ne dit pas que je l'ai pris en otage, non, en faite, sont fils ( qui devait avoir 10 ans) à couru pour ne pas voir son père. L'homme m'a alors lâché, de toute manière on se connaissait plutôt bien, on avait créée quelques liens à force de ce jeu de chat et souris...
Je n'ai jamais été méchante ou malsaine, je ne savais même pas pourquoi on me poursuivais, je savais juste qu'a aucun moment je devait me faire attraper... On s'est séparé pour trouver son fils. M'engouffrant dans un ruelle sombre j'ai vu la silhouette de son fils, je l'ai appeler jusqu’à voir une autre silhouette.
J'ai entendu un coup et l'enfant s’effondrer, sans même avoir le temps de réagir, l'autres silhouette était en face de moi, souriant il me donna un coup de tuyau en fer et je perdit connaissance. ( c'est vachement drôle de savoir qu'on peut s'évanouir comme dans les mangas xD, un bon coup et HOP ! ) .
J'ai repris connaissance et ai vu la silhouette d'une femme, l'enfant lui était attacher, il servait d'otage par rapport à moi. C'était une femme folle et célèbre que j'ai malheureusement énervé car je ne savait pas c'était qui malgré le faite qu'elle soit connu dans le monde. Elle s'est plaint qu'à présent j'était la seule dans les médias, que je lui avait volé la vedette.. etc ... elle m'a alors dit de me rendre à la police, que cette histoire se tasse contre la vie de l'enfant.
J'ai accepter sans hésité, tout d'abord pour sauver l'enfant du policier mais aussi car cette folle pouvait changer d'idée à tout moment ... Sortant du bâtiment, j'ai retrouver le policier, je lui ai expliquer, il me mit les menottes et la femme libéra l'enfant.
Déçu par une fin de poursuite aussi lamentable, me remerciant du regard, le policier laissa la voiture en marche avec ses clés tout en attachant mal mes menottes.
J'ai alors compris et sans hésité quand il eu le dos tourné j'enlevais mes menottes et m'enfuyait avec la voiture. Jetant un coup d’œil dans le rétroviseur. J'aperçu un sourire sur son visage.